Spécial Négociations 2019

  • Les négociations relatives aux rémunérations et aux salariés ce sont ouvertes fin d’année 2018. Voici en quelques lignes, nos propositions à la direction. Dès les négociations achevées, nous vous informerons des éléments obtenus.

    INTÉRIMAIRES : CONGÉS PAYÉS, PRIME D’ANCIENNETÉ, PRIME D’APPORTEUR D’AFFAIRE ET DE COMPÉTENCES

    Congés payés, les intérimaires ont aussi droit au repos !

  • + de 90 000 intérimaires travaillent en moyenne 6 mois par an sous contrat Adecco

  • + de 40 000 intérimaires en moyenne 3 mois par an sous contrat Adecco.

  • Situation actuelle en matière de congés payés pour les intérimaires :

    1. Les congés payés ne sont versés qu’à la fin du contrat ;
    2. Impossible de poser des jours de repos durant la mission.
    Ce que réclame votre équipe CGT en matière de congés payés :
    • Pour les missions d’une durée certaine, la possibilité pour l’intérimaire de poser des jours de congés payés pour se reposer et profiter de sa famille ;
    • Pouvoir percevoir la partie des congés payés déjà cumulés en cours de mission.

    Ancienneté

    Depuis des années, de nombreux intérimaires constituent la force vive d’Adecco, et pourtant, ils ne sont pas récompensés pour leur fidélité.

    Nous réclamons la mise en place d’une prime d’ancienneté pour reconnaître et fidéliser les intérimaires qui travaillent aux côtés d’Adecco depuis lontemps.

    Primes d’apport d’affaires et de compétences

    Nous demandons également la mise en place de primes pour récompenser les intérimaires qui apportent des affaires et des compétences aux agences Adecco pour lesquelles ils travaillent.

    PERMANENTS : ACCROÎTRE LE POUVOIR D’ACHAT

    Avec l’inflation et des salaires qui ne suivent pas l’investissement des salariés pour assurer la productivité du Groupe, nous demandons :

  • Négociations salariales 2019

    Négociations salariales 2019

  • Le Reversement des cotisations salariales et patronales sur salaire

  • L’augmentation de la part patronale des tickets restaurants

  • L’augmentation générale minimum de 2% pour compenser l’infation