14 octobre 2024
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La CGT Adecco a saisi la direction de Adecco pou rlui sommer de s'expliquer et de prendre des mesures drastiques pour la protection des données, et ce dés le Samedi 12 Novembre.
Suite au piratage qu'a subi Adecco, plusieurs salarié(e)s ont subi des prélèvements frauduleux ont eu lieu sur les comptes bancaires de salarié(e)s. Voire article plus tôt sur ce site.
Ayant vite réagi, la CGT Intérim a vite communiqué dessus en dressant les barbelés et en décrivant la procédure à suivre aux personnes ayant subi ce préjudice. Quand on est précaire, 49.85 €, ça compte.
Visiblement, par pour la direction de Adecco qui a tardé à communiquer, et c'est la presse qui s'est emparée du sujet. Devant le tollé médiatique, la direction de Adecco a juste dit "aucun rapport de cause à effet entre le piratage et les prélèvements, on a rappelé la procédure à suivre"...
Or, diverses pistes laissent voir que ces données ont bien fuité sur le darknet, et ce dés le lendemain de la constatation du piratage, et les prélèvements ont commencé... Le communiqué de Adecco (en direct au journal télévisé d'une grande chaîne à l'heure de forte audience) n'est que de la poudre aux yeux pour tenter de rassurer. Tout dans la comm'...
La CGT Adecco a trés vite demandé des explications à la direction par tous les moyens possibles (réunion exceptionnelle au Comité Social et Economique Central, etc...).
Et ce dés que possible, trés vite, dans la semaine prochaine. Car si d'autres données ont fuité (ce que nous craignons le plus), les faits déjà graves peuvent encore s'aggraver.
Devant les communiqués assez tièdes et conciliants de la part de diverses organisations, la CGT Adecco trés réactive, agit trés vite pour résoudre et mettre fin à cette gabegie numérique (à la limite de l'amateurisme) mettant en péril un salariat précaire.
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